- Ak'zac
- Nom unique.
- 37 lunes.
- Mâle.
- Sokirhy.
- Alpha.
- Sang mêlé.
▬ Malgré le fait qu'il soit un chien-loup, son côté chien ne ressort pas vraiment. Il est très grand pour son espèce, et très massif. Il est très musclé, et est large d'épaule. Ses pattes sont plutôt grande. Son pelage est blanc, et sur son large dos, quelques poils sont noirs. Il possède de beaux yeux ambrés, remplis de sagesse. Sa truffe est noire, son poil est bien fourni. Ses crocs sont aiguisés comme ses griffes. Le tout est bien proportionné. Ses oreilles sont touffus et dressées, de même pour sa queue.
Caractère
Ak'zac est un loup compliqué à comprendre tout en ne l'étant pas. Il privilégie le silence, et ne parle que quand il y est forcé ou que quand il le doit. Très indépendant, il se balade souvent seul sur son territoire, appréciant la tranquilité des environs. Il est tout le temps dans ses pensées, il est rêveur et très accroché aux personnes qu'il aime et ses convictions. Il passe son temps à penser et à repenser le monde. Il réfléchit toujours avant d'agir, et se remet souvent en question, voir trop, ce qui fait qu'il n'a pas trop d'estime de lui. Il assume tout de même son rôle d'Alpha, et malgré qu'il ne soit pas très impulsif, il serait prêt à mourir pour les siens. Il est juste et autoritaire, tout en restant doux et attentionné. Il est extrêmement calme et ne juge jamais, écoutant tous ses membres. Mais parfois, pour se faire respecter, il n'hésiterait pas à montrer les crocs.
Histoire
Tu ne comprenais pas. Tu n'avais jamais compris. Tu n'avais jamais compris pourquoi ta mère s'efforçait de te donner cette importance, en te couvant de noms doux et de compliments. Peut-être parce tu étais non-désiré. Parce tu avais du sang de chien. Tu lisais les émotions de ta mère comme un livre ouvert. Elle était jeune ; elle aurait préférée profiter de sa vie dans la nature plutôt que t'éléver. Cependant, elle le faisait. Elle aurait pu t'abandonner, te laisser mourir. Pourtant, elle ne le faisait pas. Tu ne comprenais pas.
Elle t'avait parlé de ton père ; un grand chien au poil fourni. Mais ses paroles n'étaient que remplies de peur, et pas d'amour. C'était de là que venait ces cicatrices ? Tu ne savais pas. Tu ne comprenais pas. Donc tu réfléchissais.
Elle t'avait de nombreuses reproché d'être trop rêveur, et de ne jamais écouter ses leçons. Pourtant, tu savais bien chasser et te battre. Mais elle avait raison. Tu étais trop rêveur. Et c'était ton problème, pas le sien.
L'odeur du sang, c'est une odeur que tu ne peux oublier. Ta mère gisait là, dans sa mare de sang. Des humains l'avaient abattue. Tu ignorais la tristesse qui te brisais et tu partis. Loin de cette barbarie.
La fameuse maladie, tu en avais entendu parler.
Tu savais que l'union faisait la force. Tu décidas de faire une meute, rassembler d'autres loups. Tu n'étais pas un meneur, selon toi. Juste un rêveur. Mais dans ces terres où la nature commençait à reprendre ses droits,
« La rêverie est un luxe dont on ne peut pas se permettre, mon fils. »